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La Flamengrie (Aisne)

La Flamengrie
La Flamengrie (Aisne)
Vue de l'entrée du bourg.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Aisne
Arrondissement Vervins
Intercommunalité Communauté de communes de la Thiérache du Centre
Maire
Mandat
Jean Fourdrignier
2020-2026
Code postal 02260
Code commune 02312
Démographie
Gentilé Flamengrois(es)
Population
municipale
1 093 hab. (2021 en évolution de −6,26 % par rapport à 2015)
Densité 41 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 00′ 17″ nord, 3° 55′ 16″ est
Altitude Min. 171 m
Max. 232 m
Superficie 26,43 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Vervins
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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La Flamengrie
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La Flamengrie
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La Flamengrie
Liens
Site web laflamengrie.fr

La Flamengrie est une commune française située dans le département de l'Aisne en région Hauts-de-France.

Géographie

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Localisation

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Cartographies de la commune
Carte
La commune avec l'emplacement de la mairie dans le département
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
  • 1Carte dynamique
  • 2Carte Openstreetmap
  • 3Carte topographique
  • 4Carte avec les communes environnantes

La Flamengrie est située au nord du département de l'Aisne et fait partie de la communauté de communes de la Thiérache du Centre. La commune est traversée par la route nationale 2 reliant Paris à Bruxelles.

La mairie est un des bâtiments le plus imposant du village, en raison de son beffroi, au même titre que les trois églises, celle de la Nativité-de-la-Sainte-Vierge au centre, celle de Saint-Martin à Roubay et celle de Saint-Denis au Petit Bois.

En sillonnant les chemins de campagne, on rencontre aussi des calvaires et de nombreux oratoires, intégrés dans un paysage bocager.

Le village est limitrophe du département du Nord et se situe à 15 km de la Belgique.

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est traversée par la ligne de partage des eaux entre les bassins hydrographiques Artois-Picardie et Seine-Normandie. Elle est drainée par le Morteau, le Noirrieu, le ruisseau de la Chaudière, l'Iron, la Ferme du Maka[1], le Haut Bugny[2], le ruisseau de la chaudière[3], le ruisseau du maka[4], le ruisseau du petit floyon[5] et Papleux[6],[Carte 1].

Le Morteau, d'une longueur de 23 km, prend sa source dans la commune et se jette dans le Noirrieu à Étreux, après avoir traversé six communes[7].

Le Noirrieu, d'une longueur de 33 km, prend sa source dans la commune et se jette dans l'Oise (rive gauche) à Vadencourt, après avoir traversé onze communes[8].

L'Iron, d'une longueur de 25 km, prend sa source dans la commune et se jette dans le Noirrieu à Hannapes, après avoir traversé dix communes[9].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de la Flamengrie[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Sambre ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 253 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Sambre. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le , puis modifié le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte du Parc naturel régional de l'Avesnois[10].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat

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En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[12].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 903 mm, avec 13,4 jours de précipitations en janvier et 9,8 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Hilaire-sur-Helpe à 14 km à vol d'oiseau[13], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 802,4 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Urbanisme

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Typologie

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Au , La Flamengrie est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[17]. Elle est située hors unité urbaine[18] et hors attraction des villes[19],[20].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (89,5 %), terres arables (5,1 %), forêts (3,2 %), zones urbanisées (2,2 %)[21].

L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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  • Anciens noms : Flamengueria, (1209) Flamingeria (cartulaire blanc de l'abbaye Saint-Denis), (1212) Flamengeria, (1223) Flamineria (petit cartulaire de Chaourse), 1223 La Flamengria (cartulaire de la seigneurie de Guise), (1226) Flamengria (manuscrit du Sieur l'Elleu), 1360 : Flamenguerie (Trésor des Chartres, registre 90), 1681 : La Flamengry (bailliage de Marfontaine), 1704 : Flammengrie (bailliage de Ribemont), 18e siècle : La Flammengry (carte du Gouvernement de La Capelle), Fin 18e : La Flamangrie (carte de Cassini)
  • Étymologie : Il n'est pas souvent aisé de trouver l'origine d'un nom de localité qui a évolué au fil du temps et a été marqué par l'influence de différentes langues. Trois pistes ont été soulevées ; la 3e semble la plus plausible : 1) Hypothèse latine : Flamen et Geria. Pour Flamen, le latin se traduit par : vent, brise, souffle. Pour Geria, le latin donne : arbre. Ce qui peut donner : vent dans les arbres. 2) Un historien axonais, Amédée Piette, donne une version plus réaliste en faisant dériver ces formes latines de deux noms d'origine hollandaise : vlamen greuze qui signifie : frontière des Flamands ou de la Flandre. Une version issue des travaux de M. LEBEAU sur la description de l'arrondissement d'Avesnes-sur-Helpe. C'est l'endroit où se rencontraient les limites des pays gaulois Rémes (Rémi) et celui des Gaulois Nerviens (Nervii) symbolisé par les bords de la grande forêt d'Arrouaise. Frontière qui était la même sous Louis XIV et qui séparait le royaume de France avec les provinces de Flandres (Hainaut). De nos jours ces limites sont celles des départements de l'Aisne et du Nord. 3) Du néerlandais Vlamingen « Flamands » et du suffixe roman -aria (colonia) : « la ( colonie ) de Flamands »[22], nom d'origine populaire, né du parler roman et latinisé en Flamingeria. L'appellation « La Flamengrie » a désigné divers endroits, principalement dans le Hainaut, indiquant des terres occupées par des immigrants flamands (Flamingi) ; le suffixe -erie indiquant le caractère collectif du mot. Le nom de la commune n'apparaît qu'à partir de la fin du XIIe siècle, époque où une émigration se fit depuis la Flandre.

Histoire

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  •  : le cessez-le-feu de la Grande Guerre a retenti le à La Flamengrie, au hameau d'Haudroy. La Pierre d'Haudroy témoigne encore aujourd'hui de la ténacité du Poilu.

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune de Flamengrie est membre de la communauté de communes de la Thiérache du Centre, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à La Capelle. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[23].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Vervins, au département de l'Aisne et à la région Hauts-de-France[18]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Vervins pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[18], et de la troisième circonscription de l'Aisne pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[24].

Administration municipale

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1875 après 1876 Liévin-M.[25]    
Les données manquantes sont à compléter.
1993 mai 2020 Nicole Meurisse UDI Retraitée de l'Éducation nationale
Réélue pour le mandat 2014-2020[26]
mai 2020[27],[28] En cours
(au 23 mai 2020)
Jean Fourdrignier    

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30].

En 2021, la commune comptait 1 093 habitants[Note 2], en évolution de −6,26 % par rapport à 2015 (Aisne : −2,08 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2451 3411 3331 4261 7441 7241 7081 6951 730
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 6881 6741 6131 5361 5031 5021 5131 5041 345
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2611 2701 2521 1661 1651 1491 1761 0801 060
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 0931 0419511 0231 0731 0991 0531 0481 138
2017 2021 - - - - - - -
1 1181 093-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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  • Troignon, lieutenant du capitaine Moneuse, chauffeur, brigand de grand chemin, assassin, pillard... mort dans des circonstances mystérieuses début 1795.

Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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Notes

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes

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  1. « Réseau hydrographique de la Flamengrie » sur Géoportail (consulté le 17 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Sandre, « la Ferme du Maka »
  2. Sandre, « le Haut Bugny »
  3. Sandre, « le ruisseau de la chaudière »
  4. Sandre, « le ruisseau du maka »
  5. Sandre, « le ruisseau du petit floyon »
  6. Sandre, « Papleux »
  7. Sandre, « le Morteau »
  8. Sandre, « le Noirrieu »
  9. Sandre, « l'Iron »
  10. « SAGE Sambre », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  11. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  12. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  13. « Orthodromie entre La Flamengrie et Saint-Hilaire-sur-Helpe », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « St-hilaire-sur-helpe » (commune de Saint-Hilaire-sur-Helpe) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « St-hilaire-sur-helpe » (commune de Saint-Hilaire-sur-Helpe) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  17. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  18. a b et c Insee, « Métadonnées de la commune ».
  19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  22. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Genève, Droz, , p. 736.
  23. « communauté de communes de la Thiérache du Centre - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Découpage électoral de l'Aisne (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  25. Almanach-annuaire de la Marne, de l'Aisne et des Ardennes, 18e année, Matot-Braine, Reims, 1876, p193.
  26. « Les maires s'installent : Nicole Meurisse, 61 ans, retraitée de l"éducation nationale, entame son cinquième mandat », La Thiérache, no 2575,‎ , p. 49 (ISSN 0183-8415)
  27. « L'élection du maire et des adjoints s'est déroulée à huis clos à La Flamengrie », sur aisnenouvelle.fr, L'Aisne nouvelle, (consulté le ).
  28. « La Flamengrie, Jean Fourdrignier élu maire », La Thiérache, no 2896,‎ , p. 8 (ISSN 0183-8415)
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.